L'histoire (un mélange histoire + rp)

Mouarf >< foutu elfe

rho tt de suite pfff +>D

Mwahahaha =D Allons-y <3

Esthroth venait de prendre la parole. Dans les brumes nocturnes, l'un des être lupins s'assit. Un autre également, et bientôt tous l'imitèrent. Un seul se redressa lentement sur des pattes arrières, se tenant comme un homme. Il s'avança. Il mesurait environ trois mètres de haut, peut-être quatre. Son poil semblait rouge sombre. Des ombres on aurait dit qu'il avait un tête de bélier. C'était en fait un crâne de bélier qu'il portait ainsi. Une sorte de rune fixée sur le front. Dans une de ses mains il portait une immense faux, dont la lame semblait en os. Dans l'autre une épée gigantesque. Il se courba quelques peu, puis s'accroupit pour amener sa tête au niveau d'Esthroth.

"Nous savons qui vous êtes. Nous savons qui vous cherchez. Vous êtes venu avec lui. Pour chercher l'autre. Vous êtes plus fous que moi-même, qui garde les morts... Vous êtes étranges."

Il renifla l'air, examinant chacun des membres du groupe. Il sembla sourire, puis reprit la parole.

"Votre ami est blessé. Vous avez échappé de peu à un sort pire que la mort. Vous avez vos chances. Suivez-moi."

Il se redressa de tout sa hauteur et hurla à la Lune qui éclairait la scène. La montagne lui répondit, de ses milles ombres au yeux brillants. Du cœur des ténèbres aux éminences dégagées, un peuple salua ses premiers visiteurs depuis de nombreux siècles.

Aldier s'avança et posa sa main sur l'épaule d'Esthroth.

Nous devrions leur faire confiance, et les suivre.

Il retourna supporter Zogzog et l'aida à avancer, invitant les autres à suivre le lupin rouge, qui repartait...

Merci Aldier =)

Allons-y !!

go go go ^^

La tension avait finalement diminué lorsque le grand lupin était parti. Esthroth avait eu peur que celui-ci décide d'user de sa faux. Il est vrai que l'elfe était agile mais avec la tête dans le cul et réveillé en sursaut, il n'était clairement pas au mieux de ses capacités.

Il se recoiffa rapidement avant de répondre à Aldier.

Oui, suivons-les. Ils n'ont pas l'air si agressifs.

Puis en voyant tous les yeux de ceux qui s'étaient cachés dans la montagne.

S'ils avaient voulu notre mort, cela ferait longtemps que nous le serions...

Vous prenez donc la route derrière les lupins, puisque cela semble être leur nom d'après Aldier. Il refuse de répondre à vos questions sur ce peuple pour le moins étrange, sinon effrayant. Vous sortez rapidement du ravin, puis passez dans un véritable dédale de roches, de défilés, de ravins. Enfin, vous arrivez sur ce qui semble, être un col. Au loin, le soleil se lève. A vos pieds, dans la vallée, une forêt profonde se tient. Des cimes qui semblent énormes, immenses, à perte de vue. La descente commence alors.

Après une heure de marche, fatigante, éprouvante (pour Zogzog entre autre), vous arrivez enfin dans un petit village. Là, ce qui semble être un tribus de lupins, vaque à ses occupations. Le village ne semble pas s'éveiller, mais plutôt s'endormir. On vous installe correctement dans une hutte, en vous recommandant de dormir et de vous reposer. Quelqu'un vient bander correctement la cheville de l'Orc. On vous regarde avec une lueur de curiosité dans le regard. Aldier semble reconnu, étrangement, par certains.

Alors que vous commencez à vous assoir, poser vos sacs, et le reste, une bande de jeunes louveteaux entrent dans la hutte et se jettent sur Aldier. Hauts de presque un mètre cinquante, ils semblent cependant jeunes... et joueurs. Aldier roule au sol et entre dans leur jeu, riant avec eux. Pendant quelques minutes ils bataillent gentiment. Puis une voix se fait entendre dans une langue étrange. Les jeunes s'arrêtent alors. Il se relèvent et sortent de la hutte, l'air déçu, mais le regard pétillant.

Aldier se redresse, grimaçant un peu mais souriant aussi. Il regarde les jeunes sortir, un sourire étrange sur les lèvres. Puis va se poser dans un coin de la hutte. Il s'allonge, soupirant d'aise d'avoir enfin une couche confortable. Dehors, l'activité décroit. Les huttes sont hermétiques à la lumière. Celui qui porte le crâne de bélier, vient alors et entre. Derrière lui, il ferme la tenture qui sert ici de porte. S'asseyant dans l'obscurité, il parle, de sa voix basse, grave et sourde, mais presque apaisante.

Je ne veillerais pas les mort aujourd'hui, mais votre sommeil. Ma hutte vous accueille avec joie, et moi de même. Je n'ai pas beaucoup de visites. Nous pourrons parler si vous le souhaitez. Mais pensez à dormir. Je veillerai sur vous cette nuit. Soyez en paix.

Le silence se fait.

Alors : repos général, dans de bonnes conditions. Tout le monde peut dormir tout son saoul. de la nourriture est disponible. Pas très gouteuse, mais bonne, et nourrissante, de même pour la boisson (eau, faut pas rêver =P) Vous pouvez poser des questions au grand loup. Si vous voulez dormir tout de suite, je veux que vous me jetiez un dé chance avant, et fassiez une réponse après votre jet, décrivant que vous vous endormez et précisant votre résultat.

Désolé de la qualité médiocre de mon style ce soir, mais je voulais répondre, ayant déjà assez prit de retard. Et je suis dans un état de fatigue avancée x) Bonne soirée =P

je poserais bien quelques questions :

Hoenheim s'assit en tailleur :
"merci pour votre hostpitalité, pouvez vous nous dire ou nous sommes ?"

Vous êtes ici dans un des villages de mon peuple. On nous appelle Lupins. Nous sommes près du cœur des montagnes, dans la combe de la Lune, pour être plus précis. Vous y êtes en sécurité, et par Sa volonté. Vous vous êtes aventurés loin pour chasser un sorcier. Votre cœur est noble, vos intentions louables. Nous vous aiderons pour cela.

"merci beaucoup pour votre hospitalité.
Vous parlez d'aide mais quel sorte d'aide mon seigneur?"

Esthroth écoutait le demi-elfe converser avec le lupin au crâne de bélier en hôchant de la tête (comme pour approuver les questions de Hoenhiem).

Merci bien pour ces bon soin que vous m'avez prodiguez.

Est ce que le Sorcier a de l'aide dans le coin? c'est pour cela que vs allez vous joindre a nous ?

Je pense ne pas m'être très bien fait comprendre répondit le Lupin en partant d'un grand rire semblable à un aboiement.

Nous allons vous permettre de progresser dans votre lutte. Vous allez pour cela devoir prouver votre valeur selon nos rites les plus sacrés. Pouvoir s'y soumettre est un honneur. Votre compagnon ici présent, il désigna Aldier du menton, n'y a jamais pu, seul, prétendre. Maintenant que nous savons qui sont ses compagnons... C'est différent. Vous allez vous voir accorder un rare privilège : habituellement, ne sont autorisés à passer l'épreuve qui vous attend que les plus fervent serviteurs de notre maîtresse. Vous en sortirez grandis, meurtris, changés. Plus forts, et plus à même de combattre les sorciers.

Pour répondre à votre première question, Orc, le sorcier est passé à l'Est de ces montagnes. Il cherche quelque chose. Il a une mission, qu'il poursuit depuis très longtemps, bien avant que vous n'ayez eu à la poursuivre. Maintenant il approche du but. Je ne saurais que vous conseiller la prudence dans la route qui sera votre par la suite, vous rencontrerez des choses qui vont au-delà de la compréhension de certains des plus sages de notre peuples. Je dois être un des seuls à en comprendre une partie. Une petite partie. Un compréhension qui s'est payée par la solitude, le côtoiement des morts, et de la mort elle-même.

J'y ai certainement perdu ma raison... Mais la sagesse n'est-elle pas que l'ordonnancement de la folie ?

Aldier sourit discrètement à l'énonciation de cette dernière phrase. Puis il prit à son tour la parole :

Je commence seulement à comprendre ce que j'ai pu apprendre ici. Laisse leur le temps. Si l'épreuve est ce que je devine, nous allons avoir le choix entre comprendre et mourir. Laisse au temps le temps de nous présenter ses épreuves. Qui brusque le cours...

Sera prit de court. Je connais l'adage, Saigneur. Tu as raison, néanmoins... puisse-t-Elle t'entendre. Vous devriez dormir maintenant.

La nuit te libère, Gardien.
La nuit te libère, Saigneur.

Sur ce dernier échange, vraisemblablement rituel, le lupin retira le crâne de bélier, découvrant des traits presque rassurants de loup, indistincts dans la pénombre.