Aldier, le Saigneur

Comme proposé par Sephiroth-clad je viens ici raconté l'histoire de mon personnage.

Cette histoire commence il y a 50 ans environ. Au mois de novembre, dans un petit village de fermiers et d'artisans situé non-loin de terres dite "sorcerisées" car corrompues par les sorciers, naquit Aldier, fils d'Irlene, potière de son état et de Gaubrial, le plus fameux forgeron de la région. Il grandit dans une atmosphère de guerre et de conflit ce qui le décida certainement pour devenir soldat. Il s'avéra être d'excellente constitution et développa rapidement une musculature et une carrure impressionnantes, de concert avec sa taille. A 15 ans il tua pour la première fois. Des pillards attaquaient son village et tous se défendaient du mieux qu'ils pouvaient. Voyant ces derniers s'attaquer à ses proches il s'empara d'une arme sur un cadavre de bandit et commença sa moisson. A un moment les pillards, malgré leur nombre, commencèrent à hésiter à s'approcher de ce jeune, même pas adulte, mais déjà si meurtrier.

Alors que fuyaient les derniers survivants Aldier arrêta sa danse de mort et lâcha l'arme, sidéré de ses propres actes. Le mage du village diagnostiqua un phénomène rarissime : Aldier n'était autre qu'un Arh-Sindel, un guerrier d'instinct, promis à un destin de combat et de guerre. Il s'avéra de plus qu'Aldier était l'Arh-Sindel du Loup, Guerrier au dons phénoménaux. Au jour de ses 18 ans son père lui offrit une lame d'une grande valeur qu'il avait forgée lui-même avec un métal rare et précieux dont il refusa de révéler comment il l'avait obtenu. Aldier nomma cette lame Kidermund, la Rouge, qui devait devenir la Sanglante par la suite. Il partit le lendemain pour s'enrôler et de ce jour ses proches n'eurent plus aucune nouvelle de lui, sinon par les récits de guerres qui arrivaient au village.

A suivre...

Note : Oui je sais que le nom de mon perso ne correspond pas avec le précédent mais j'ai décidé d'en changé une dernière fois avant de ne plus pouvoir le faire. J'attends votre avis.

Le jeune Aldier prit au départ la direction de la ville voisine, comptant aller à la caserne pour s'enrôler, mais les dieux en avaient décidé autrement et ses projets furent mis à mal par deux évènements. Tout d'abord l'étrange tempête qui le désorienta, le laissant perdu au milieu de nulle part, ensuite l'étrange personnage barbu encapuchonné de gris qu'il rencontra.

Aldier, naïf en son jeune âge, lui confia ses projets de s'enrôler pour devenir soldat. L'homme lui dit alors qu'il était justement recruteur d'une des armées du continent. Aldier accepta de le suivre au cantonnement et commença son service. Arrivé à l'âge de 25 ans il était déjà caporal de l'armé sombre et découvrit la raison de son malaise depuis 7 ans maintenant. L'armée sombre n'est autre que la légion secrète des sorciers. Il n'avait cependant pas le choix à l'époque et continua de servir les pires ordures que cette terre ai jamais portée. A l'âge de 40 ans il atteignit le statut de légende et devint le Saigneur. Il commanda alors sa dernière expédition pour l'armé sombre : le massacre d'Illida, village commerçant qui gênait les Sorciers et qui les avaient défiés. Le village était humain. Pour Aldier ce fut la fois de trop : il avait déjà combattu toutes les races existantes mais toujours des soldats et des armés, pas des femmes, des enfants et des vieillards sans défense. Il n'eut cependant pas le choix et moissonna des vies par dizaines. Il ne fit ni quartier ni prisonnier, comme le lui avaient ordonné les maîtres sorciers, ses seuls supérieurs désormais, les seuls à pouvoir lui donner des ordres.

L'occasion lui fut donnée de partir quand il fallut pourchassé un groupe de rescapés. Il se porta volontaire et, à peine avait-il quitté le camps qu'il repéra déjà leurs traces. Il les suivis et arriva sur la colline au soir, au milieu d'un cercle de pierres levées. La une prison magique s'abattit sur lui, l'emprisonnant dans les cercle. Quelques heures après la Lune (pleine) se leva. Apparu aux abords du cercle un petit personnage ridé qui s'adressa à lui en ces termes :
"Tu est au sanctuaire de la Lune et la nuit dernière beaucoup de sang a coulé,... par ta faute. Je me trompe ??
-Pas le moins du monde vieil homme.
-Cependant ton cœur est bon. Pourquoi alors sers-tu les sorciers?"
Aldier lui raconta alors ses mésaventures de jeunesse et lui révéla tout, y compris sa nature d'Arh-Sindel du Loup, chose dont il n'avait jamais fait part au sorciers.
Le vieillard, apparemment impressionné, lui dit encore :
"Je comprends, mais je n'excuse pas pour autant. La Luneest rouge du sang des innocents massacrés hier, c'est elle qui te jugera, je te transmettrais son verdict."
Il partit alors et Aldier se retrouva seul. Il s'assit au centre du cercle et médita sur son passé. La lune arrivant à son zénith il ressenti une vive douleur dans le crane, comme si on fouillait sa mémoire. Il finit par perdre connaissance et rêva.

Un personnage étrangement familier lui apparu et lui dit :

"La Lune t'a jugé, tu mérite la mort. Cependant tu est l'Arh-Sindel du loup, son serviteur, tu sera donc simplement hanté par le souvenir de ce massacre et les sorciers sauront que tu n'est pas mort. Tu passera le restant de tes jours à fuir, poursuivi par les assassins des sorciers. Toute ton existence durant il te faudra te racheter, ou mourir. Ton combat désormais, ton idéal, est la défense de la liberté. Va maintenant, et ne revient jamais en ces terres sauf pour y poursuivre ton combat."

Il se réveilla près d'un village où il commença sa croisade pour la liberté. Depuis ce jour, il y a 10 ans maintenant, il sert la liberté.



La suite, sera écrite par nos actions.

Alors, vous en pensez quoi??

Bon, suite à vos demandes je vais entreprendre d'étoffer l'histoire d'Aldier. Je repars du début et je change la présentation. Sa jeunesse sera contée d'un point de vue externe, son journal vous racontera la suite.

Tout être en ce monde capable parler à entendu parler des sorciers, ces êtres abjects qui usent des arts magiques pour leurs intérêts propres et qui sont près à toutes les bassesses pour arriver à leurs fins. On pourrait penser que rien n'est en mesure d'arrêter les sorciers, mais c'est faux. Comme pour toute chose en ce monde les sorciers ont un opposé, comme un reflet inversé. Ces "reflets" sont bien plus rares que les sorciers, certes, car ils sont apparus après, mais ils sont aussi un peu plus puissant et se sont déjà faits légende. Les Arhs-Sindels sont ces opposés des sorciers : ils sont les guerriers ultimes une fois matures, ne pratiquant pas la magie à proprement parler. Ont ne parle d'eux que tout bas car ils ne sont que des légendes pour la plupart des gens, une légende sans consistance ni fondement. Ce qui est entièrement faux. En effet toute légende a un fondement et celle-ci en a un particulièrement frappant, au sens propre du terme : lorsque les sorciers découvrirent le premier Arh-Sindel ils tentèrent de l'éliminer. Sur les trois bataillons envoyés seul un soldat revint. L'Arh-Sindel était de haut, très haut niveau et ils avaient fait l'erreur de le sous-estimer.

A suivre...

17e Jour de novembre, an 1568 de notre ère.

Ce jour vit mon départ de mon village, lieu où j'ai grandi et où toute ma famille et mes amis résident. Je suis parti avec pour seul bagage ma lame, des provisions et mes souvenirs de cette vie qui jamais plus ne serait là mienne et de tous ceux que j'ai aimé dans mon village. Je laisse tout et tout le monde, y compris la belle Allya, avec je n'aurai pas rechigné à me marier, je l'avoue. Mais ma vie sera de combats car je suis un Arh-Syndel, voué à me battre et à verser le sang. Je quitte donc les miens et je pars à la ville pour m'y enrôler dans l'armée. Enfin c'était le projet de base. Puis une tempête inexpliquée m'a surpris sur la route et je me suis perdu. Heureusement pour moi et pour mes projets un vieil homme assez sympathique, quoique faisant froid dans le dos à première vue, à croisé ma route, intriguant n'est-ce pas? Il s'est présenté comme étant un recruteur d'une armée secrète œuvrant pour un objectif qui dépasse de loin celui de l'armée régulière. Il m'a proposé d'y entrer quand je l'ai informé de mes projets et j'ai accepté. nous avons dressé le camp ce soir et nous partirons demain pour le quartier général de l'armée, là je commencerai mon entraînement.

Je ne lui ai rien dit sur ma nature un peu hors du commun car ... c'est comme si un sixième sens m'en gardai. Il m'a sauvé bien des fois ce sens et je décide de lui faire confiance. L'homme ce saura rien. Je quitte ici la plume pour aller dormir. La journée de demain sera longue et je tiens à être au mieux pour mon premier jour.


Journal d'Aldier extraits

25e jour de Février, an 1569 de notre ère.


Voici maintenant un peu plus de trois mois que j'ai intégré l'armée, après avoir suivi ce vieil homme si mystérieux, et demain je participerai à ma première bataille, après ces trois mois d'entraînement intensif je me sens prêt, mon groupe devra contourner les forces ennemies et saper leurs arrière et leur moral avec des techniques d'artifice de base : explosions, fumée, etc... Et surtout nous devons détourner leur attention de l'armée imposante qui avancera à terrain découvert, ils ne doivent pas pouvoir se concentrer sur eux et surtout découvrir leur arrivée le plus tard possible. C'est une mission dangereuse, peut en reviennent, les Maîtres disent que je devrais m'en sortir. Quand j'ai demander ce qu'il en était pour les autres il s'ensuivit un discussion que je voudrais consigner car elle revêt une grande importance pour moi :

"Les autres ? demanda le Grand Maître, étonné. Quels autres ?
- Et bien tout ceux qui partiront avec moi, vous avez dis que je devrais survivre, mais en sera-t-il de même pour eux ? dois-je faire en sorte qu'ils survivent ?
- Et pourquoi devrais-tu faire cela ?
- Et bien si j'ai des capacités, ne dois-je pas m'en servir pour le bien des autres ?"
Le Grand Maître devint sérieux tout à coup et repris :
"Dis moi Soldat Aldier, penses-tu vraiment que demain nous ferons le bien ?
- Euh...
-Demain nous ne feront pas le bien jeune homme, pas plus que les fois suivantes, pas plus les fois qui précédèrent ton arrivée. Non, demain sera un jour de mort et d'horreur, demain tu fera ce que tu sais le mieux faire, jeune Aldier, demain tu tueras. Alors je te le dis, demain seule comptera ta mission, seule comptera ta survie, si vous êtes surpris et que ta mission est compromise, fait le maximum de dégâts chez eux et fuis, sauve ta vie, rejoins-nous alors et fais nous ton rapport, laisse les autres. Si tu survis demain alors ce sera bien, tu continueras ton entraînement. si tu résussi demain alors tu seras Soldat de première classe et tu auras quelques avantages, ton entraînement continueras et nous verrons si as des prédispositions pour la magie. Si tu meurt demain alors nous aurons perdu trois mois de temps et de ressource à t'entraîner et cette conversation n'aura servi à rien car tu auras attendu "les autres".
- Je comprends maître, je comprends ...
- C'est bien, va dormir maintenant, ta journée demain sera longue."

Ne me faisant pas prié je regagnais mes baraquements, mes camarades sembles anxieux de demain, pas moi. Les Maîtres m'ont fais comprendre à quel point il était important que je survive, alors je survivrai, même mieux, je réussirai ma mission, seul s'il le faut."

Journal de Soldat Aldier extraits

27e Jour de février, an 1569 de notre ère.

Lorsque j'ai laissé la plume avant-hier j'avais raison d'être confiant, mais peut-être l'ais-je trop été. Quoi qu'il en soit j'ai survécu et je suis désormais un soldat de première classe. Demain je serai testé pour voir si je peux utiliser la magie. Je vais conter ici un résumé de la bataille qui dura du 26 au matin jusqu'à ce matin, j'ai aidé personnellement à la victoire et les Maîtres m'en ont félicité.

Au matin du 26, nous arrivâmes, mon groupe et moi-même, derrière les lignes ennemies, après un départ quelques heures avant l'aube par les portails crées par les maîtres. J'avais reçu la direction du petit groupe lourdement chargé en explosifs et armé sommairement. Heureusement Kidermund était à mon côté et cela me rassurais un peu, car malgré les paroles des Maîtres cette mission allait être dangereuse pour tout le monde, moi compris.

Nous nous tenions au sommet d'une petite bute et le campement encore endormi de nos adversaires s'étendait à nos pieds. Il était immense et des milliers d'hommes dormaient là. A nous d'en tuer le plus possible avant notre mort ou l'arrivée du gros des nôtres... l'un n'empêchant pas l'autre d'ailleurs. Les choses ont tourné mal assez vite en fait, nous marchions vers le premier point à miner quand trois cavaliers nous sont tombés dessus, nous avions beau être deux fois plus nombreux, ils étaient des vétérans, ça se voyait à leurs armures et leurs armes. Nous n'étions que des bleus, de la chair à canon pour eux. Il se lancèrent vers nous, fendant la brume du petit matin de la pointe de leurs lances et de toute leur imposante silhouette montée. Nous étions proche d'un petit bois et nous savions que c'était là notre seule chance raisonnable de survivre, d'un bloc nous avons tourné les talons pour fuir, seul un fou resta, son râle d'agonie quand une lance le transperça fut étouffé par la brume. Heureusement pour la mission il ne portait aucun explosif.

Alors que je courrais sans mal je voyais mes camarades ralentir, essoufflés, alors que le bois était proche. Je fis alors ce que je devais faire, je récupérais les explosifs que portaient deux d'entre eux et, les joignant à ceux que je portais déjà, j'accélérais ma course, les laissant seuls derrière moi, en pâture aux cavaliers. Il ne tinrent pas longtemps mais les ralentirent suffisamment pour que j'ai une chance de m'en sortir, un arbre aux branches basses m'offrit l'opportunité de me mettre un peu hors de leur portée et quand il arrivèrent au bois j'étais haut dans les branches et me mouvais bruyamment pour les attirer vers les profondeurs du bois. Ils me suivirent au bruit, confiants et échauffés, je me fis une joie de les balader un petit moment avant de devenir silencieux comme une ombre et de revenir en arrière. Ils étaient perdus en forêt et m'avaient perdus d'ouïe. Le cavalier de queue s'attarda un instant quand il entendit un murmure destiné à lui seul, une promesse... de mort.

Je lui tombais dessus sans crier gare, atterrissant sur son cheval, le décapitant et, jetant son corps à terre, je pris sa place et sa lance. Je fis un sort à ses compères sidérés, tant par mon apparition que par mon visage, j'avais revêtu le masque que m'avaient confié les Maîtres il y a un mois de cela "pour quand tu seras seul" m'avaient-il dit. Hors je me retrouvais seul en ce moment. Le masque était à l'effigie d'un loup stylisé, noir avec une bande blanche.


(Je finirais plus tard, dodo ^^)

J'ai alors abattu les chevaux des autres cavaliers, pour qu'ils n'éveillent pas les soupçons en revenant seuls. Je poussais le mien à la limite de ses forces et, arrivé à la sortie du bois, je m'en débarrassais aussi. Je n'aime pas les chevaux, je préfères les loups.

J'ai été à tous les points-cibles, les bourrant d'explosifs, il m'en restait un peu, du "lançable" en quelques sortes. Je le gardais pour plus tard, "on ne sait jamais" me suis-je dit. La suite me donna raison mais nous n'y sommes pas encore. Le soleil apparaissait à l'horizon, rouge, déjà, comme rouge du sang qui coulerait aujourd'hui, comme rouge du sang des autres, et des cavaliers. Celui du groupe qui devait activer les explosifs magiquement était mort, mais il m'avait expliqué comment faire. Je ne savais pas vraiment si je pouvais le faire, si c'était dans mes cordes, mais je tentais tout de même : "Fait le maximum de dégâts chez eux puis reviens nous voir et nous faire ton rapport." C'était mes ordres. A ma grande satisfaction un série d'explosions retentirent de par tout le camp ennemi, semant une zizanie bienvenue, j'avais réussi. A ce moment surgit à l'horizon l'armée des Maîtres. Quelques sentinelles tentèrent bien de se faire entendre dans tout ce vacarme mais c'était peine perdue : entre les cris des blessés, les explosions à retardement et les cris des apparitions d'horreur provoquées par les fumées magiques personne ne vit avancer l'armée, la bataille était gagnée, avant même d'avoir commencé.

Je retrouvais l'emplacement du portail et découvrit sans surprise qu'il s'était refermé, il ne nous avait pas "attendu", les cavaliers nous avaient fortement retardés, bien au-delà de l'horaire de retour prévu si la mission s'était bien passée. Je me décidais donc à rentrer à pieds et à utiliser par la même les explosifs restant. Je savais comment les allumer désormais. Je choisissais mes cibles avec soin, procédant par petites touches : chaque fois que quelqu'un semblait réussir à ramener un semblant d'ordre je frappais et la panique reprenait de plus belle. J'étais aussi insaisissable qu'une ombre, répandant terreur et désolation sur mon passage.

Après une journée à ce régime, l'armée arriva, commençant le carnage, auquel je me joignis, n'ayant plus d'explosif. Mes apparitions étaient saluées par les miens et redoutées par les autres, je ne laissait aucun survivant sur ma route, tuant tous les soldats de l'ennemi que je rencontrais. Quoique ce ne soient pas des soldats, un soldat n'aurait pas eu aussi peur d'un simple soldat portant un masque, un jeune à peine homme. J'aidais à mettre fin à la bataille tout aussi bien que j'avais aidé les miens à la commencer sous des augures favorables.

Après la bataille les maîtres en personne firent un apparition pour venir me chercher, leurs visages étaient aussi inexpressifs que de coutume, il ouvrirent un grand portail pour faire passer l'armée et me prirent à part pour m'emmener directement dans la salle du conseil. Je n'y avait pénétré qu'une seule fois auparavant, le jour de mon admission, lorsque j'avais passé les tests pour voir mon niveau.


Que va-t-il se passer ?? mystère...

"Aldier, commença le grand Maître, ton attitude aujourd'hui nous a tous surpris ici, en effet nous avons pu suivre tes faits et gestes par un procédé de notre production et tu t'es montré... surprenant, c'est le moins que l'on puisse dire. En plus de suivre nos instructions tu a réussi à atteindre tous les objectifs, a te débarrasser de tes poursuivants ET à revenir en vie, malgré le portail fermé. Ma foi il semblerait que tu ais bien plus de potentiel que ce que nous l'avions présagé. Comme prévu tu es désormais Soldat de première classe, et ton entraînement commencera après demain. Demain tu pourras te reposer et nous essaierons de voir si tu as des prédispositions pour la magie. Va, maintenant, va et repose toi tu en a besoin je pense.